Musiques et animations pour bar-mitzvah et bat-mitzvah
La bar-mitzvah est la cérémonie par laquelle le jeune garçon – devant être âgé de treize ans et un jour- devient adulte selon la loi juive. A partir de ce moment, le jeune homme doit alors observer les commandements.
Que l’enfant appartienne au rite ashkénaze ou séfarade, les modalités de la cérémonie sont les mêmes :
- Le bar-mitzvah, accompagné de sa famille se rends à la synagogue, muni de ses teffilin.
- Le bar-mitzvah fait un modeste discours en relation avec le droit talmudique.
- A la fin de cette cérémonie, le bar-mitzvah lit un passage de la Torah.
- Après cette lecture, le père du bar-mitzvah prononce une formule marquant ainsi le nouveau statut de jeune homme.
- Une fête clôt la bar-mitzvah. Durant cette fête, le jeune homme reçoit de nombreux cadeaux
Cette fête est quasiment aussi importante que le mariage.
Cette fête intemporelle a aussi une dimension initiatique et éducative qui peut être l’occasion de transmettre aussi une partie du patrimoine musical des juifs durant la Bar-mitzvah ou la Bat-mitzvah de vos enfants. Les musiciens juifs, depuis des siècles ont nourri la tradition klezmer au gré des voyages…
Une animation musicale klezmer, yiddish et orientale
Le répertoire du Swing Klezmer Orchestra rend compte par sa diversité des différentes influences de la musique juive.
Vous trouverez dans notre répertoire de nombreuses Horotes parmi lesquels :
- Hora juive : Hava nagila, Mazel Tov…
- Hora Tzigane : Hora Martliui, Hora March
La musique russe et hongroise mais aussi la musique tzigane est également présente sous les doigts de notre violoniste des autres musiciens du groupe.
Bar-mitzvah et mitzvoth
Le terme « mitzvoth » est le pluriel de mitzvah qui signifie le commandement. Les Mitzvoth désignent donc les 613 commandements de la loi juive que le jeune homme ou la jeune femme doivent, à partir de leur 13 ans respecter*. Compte tenu de l’évolution de le société, seul 1/3 de ces commandements peuvent encore avoir un sens compte tenu du fait que certains de ces commandements s’adressent au « roi » ou encore aux « prêtres officiants »…